Dans des temps reculés, dans une contré lointaine un évenement sans importance aucune pour les territoires voisins allait pourtant changer le court de leur vie.
Un couple de serfs attachés au seigneur Emich de Wurtemberg attendaient l'arrivée de leur enfant.
Ils attendaient cet événement depuis si longtemps que la semble pensée d un accident pendant la mise à bas ne les avaient point effleuré.
Ils avaient fait appel au barbier du village.
Arrivé à la chaumière du couple il aperçu la mirgesse
Selon une tradition ancestral le barbier installait le femme à l'étable des belin;
Une fois installé sur les bourras le barbier fit boiser une jacqueline à la femme pour calmer la douleur des contractions.
Elle continuait de se douloir quand le barbier s'emparer du canivet pour accélérer la mise à bas et lui ouvrir le conet de cette dernière.
Le paillis était couvert de sang le rouge vif en regardant dans la marre de sang le barbier vît un chahuré perché sur le chêne, il y percut un mauvais présage.
Pour aider le travail il demanda à la femme de surélever son crépion.
Pendant plusieurs heures le travail n'avait guère progresser et le femme ne cesser de douloir.
Le barbier se tourna vers la mirgesse et lui demanda de lui donner les trucquoises.
Une fois muni de celle ci il les introduits dans le conet et essaya de saisir la tête de l'enfant pour l'expulser le plus rapidement possible.
Après moultes efforts le visage de l'enfanté apparu aux yeux du Barbier, il était d'une telle hideur qu'il ne pût se retenir de vomir de tout son être.
Quand il fût totalement expulsé le barbier et le mari durent se résoudre à l'évidence; cet enfant était un couillu et surement un méseau.
L'enfant fût confier à la mirgesse pour le lavement quand il fut laver et sécher elle fut prise de nausées et ne put s'empêcher à la vue de cet immonde de porpisser.
Elle laissa choir « la chose » sur le sol encore maculé des entrailles de la mère et ne put retenir ses parole :
« cette chose est le fait de sorcerie »
Le barbier attrapa ce paquet de chair chonchant sur le sol par une de ses jambes ce qui laissait apparaître un pendeloche ainsi que de pendelantes pharettes carquois.
En voyant cet appareil reproducteur il lâcha lui aussi la « chose » sur le sol ce qui ne fit que deformer de plus le crâne de la « bête ».
Il se touna vers le mari mais ne pûs ouvrir la bouche, il etait livide le regard absent.
Il se saisissa de la jacqueline et se mit à licher celle ci d'un seul trait.
Puis s'adressant au mari il lui déclara que sa femme a dû se faire esforcer par le diable en personne.
Que ce n'était qu'une gouge une bordelière un sac de vineuse juste bonne a accepter l'huile de reins d'un houlier d'un mécréant que seuls ces derniers auraient pu engendrer une telle horreur, une erreur de la nature.
Sur le pas de la porte il se retourna une dernière fois vers le mari :
« ta femme ne mérite que de se faire compisser , son conet n'a pour utilité que de se faire conchier et quelle terminerai sur le fagot »
Ce qu'il ne savait pas ce qu'il venait de prendre part non pas à la naissance d'un monstre mais bien pire encore
Le couple venait de recevoir comme cadeaux divin la pire créature connu sous ces contrés, hideuses stupide cannibale mangeuse d'enfants
En cette nuit de pleine lune le Troll venait de naître.
Le seigneur Emich de Wurtemberg apprenant la nouvelle fît capturer le troll et l'enferma dans son donjon.
Sur les murs de sa geôle il avait écrits avec ses ongles ensanglantés ces mots d'un rouge diabolique:
Prenez garde un jour je sortirai et dévorerai tout les enfants du pays
En attendant se jour il s'endormit à même le sol et dormi pendant des millénaires et ce qu'il avait prédit arriva.
« Me voilà libre et mon ventre cri famine cachez vos enfants et envoyez les sur vos colonies les plus éloignées de moi »
edith: si vous avez besoin d'éclairer vos lampions venez me sonner
Sujet: ptite présentation pour un eventuel repreneur 
29/3/2008, 02:41
